L'histoire et le politique, économie, ethnopsychiatrie, psychiatrie criminelle, philosophie... (2)

L'histoire et le politique, économie, ethnopsychiatrie, psychiatrie criminelle, philosophie... (1)

L'expansion du commerce est indiscutablement liée à l'autoritarisme, aux activités clandestines, à la corruption, au crime, à la justice partiale et aux procès truqués.

FRANCE

Comment devient-on un bourreau ? Les mécanismes de destruction de l'autre
"Contrairement aux idées reçues, le but réel de la torture mise en œuvre par le bourreau n'est assurément par de faire parler, contrairement à ce qu'il peut prétendre, lui aussi. En fait, la torture c'est pour faire taire. Elle fait taire bourreaux et victimes en un même silence..."
Les stratégies de déculturation dans les conflits contemporains
"L'objet culturel ainsi ciblé est la mémoire collective. Par un "reformatage" de la mémoire individuelle on agit sur la mémoire collective. Les techniques employées sont la mise en acte de la rupture de transmission : en effet, on obligeait les enfants soit à dénoncer, soit à tuer leurs propres parents..."
Les vétérans des guerres perdues -contraintes et métamorphoses
"La société civile croyait fortement à l'idée qu'après le dernier conflit mondial, après Auschwitz et Hiroshima, la guerre serait à jamais bannie. Il n'en fut rien. Les troubles psychopathologiques que présentent les anciens combattants m'ont contrainte, en tant que psychologue et psychothérapeute, à penser la guerre..."
Les enfants victimes de torture et leurs bourreaux
"De quelle manière l'histoire collective s'articule-t-elle avec l'histoire singulière des enfants et des adolescents? Par histoire collective j’entends les guerres, les persécutions politiques et économiques, les mouvements sociaux, les révolutions culturelles, les bouleversements technologiques, ceux de la science ou ceux des habitudes morales et culturelles..."
Maltraitance théorique et enjeux contemporains de la psychologie clinique
" Dans cet article, l'auteur introduit un nouveau concept, celui de maltraitance théorique. Il sert à caractériser d'une part l'inadéquation des théories avec lesquelles les problématiques cliniques contemporaines sont pensées, d'autre part l'inadéquation des pratiques avec lesquelles nous prétendons traiter les patients par la psychothérapie..."
Le diagnostic précoce de la schizophrénie
" La schizophrénie n'est pas une fiction ou une fabrication mais une réalité ayant des bases historiques...La schizophrénie est apparue comme une nouvelle catégorie de maladie mentale au 19ième siècle. L'installation des asiles, et en particulier la micro-organisation de ce nouveau type d'institution, ont créé les conditions pour la naissance de ce concept. Deux des thèmes centraux énoncés à partir de ces asiles, c'est-à-dire la dégénérescence et la dissociation de la personnalité, ont permis de lui donner forme..."

CHILI

Latin america : blockages to development, R.Rojas (1984)
"In this thesis I attempt to explain the state of social and economic backwardness (generally named as "underdevelopment") in Latin America by going beyond some of the major limitations which exist in the theories of underdevelopment, dependency, development, and world system. The economic overdetermination of these theories does not permit these to explain the class and production structures existing in the region, neither can it provide us with an explanation of the fact that the social and economic systems prevailing in Latin America reproduce non-capitalist relations at the social level while utilising capitalist relations at the level of production..."
Los crímenes de los generales chilenos

INDE

Hanging Afzal Would be a Stigma on Indian Democracy: Afzal in his own words
"Hanging Afzal Would be a Stigma on Indian Democracy: Afzal in his own words..."
UNMISTAKABLY SANGH:
THE NATIONAL HSC AND ITS HINDUTVA
AGENDA
The Religion of Force
"After Nandigram, the most important concern in political debate ought to be the issue of violence - legitimate, illegitimate, formal and informal. I doubt whether this debate will take place, because the ground shared by enemies is embarrassing for everyone and by mutual consent, remains unspeakable. .."


VENEZUELA

Eléments de réponse à l’analyse collective de la défaite au Referendum sur la Réforme constitutionnelle
Réponse décroissante aux assassinats des journalistes-médiateurs Le plan de la CIA démasqué "Opération Tenaille"
Référendum du Venezuela : la presse française au service de la CIA
Le plan de la CIA démasqué "Opération Tenaille"
La réforme constitutionnelle au Vénézuéla, article par article
"La Constitution actuelle de la République Bolivarienne du Venezuela est en vigueur depuis décembre 1999. Un Projet de Réforme Constitutionnelle a été présenté par le Président Hugo Chavez le 15 août 2007. Il vise à consolider et à amplifier le processus bolivarien dans ses versants politiques, sociaux, économiques et culturels. Pour ce faire, ledit projet propose la révision de 33 articles sur les 350 que compte la Constitution vénézuélienne..."
Discours de Hugo Chavez 61 ÈME ASSEMBLÉE GÉNÉRALE DE L’ONU
""Représentants des gouvernements du monde, bonjour à tous. Tout d’abord, je voudrais très respectueusement inviter ceux qui n’ont pas lu ce livre à le lire.
Noam Chomsky, l’un des Américains et des intellectuels du monde les plus prestigieux, Noam Chomsky, et ceci est l’un de ces tout derniers ouvrages, Hegemony or Survival : The Imperialist Strategy of the United States. [L’hégémonie ou la survie : La stratégie impérialiste des Etats-Unis] [Chavez brandit le livre et l’agite en face de l’Assemblée Générale.] C’est un excellent livre qui nous aide à comprendre ce qui s’est passé dans le monde au cours du 20ème siècle, sur ce qui se passe aujourd’hui et sur la plus grande menace qui plane sur notre planète.
Les prétentions hégémoniques de l’Empire Américain mettent en danger la survie-même de l’espèce humaine..."







FRANCE
Ethnopsychiatrie progressiste et éléments de recherche Centre Georges Devereux

Comment devient-on un bourreau ? Les mécanismes de destruction de l'autre
by Françoise Sironi
"Contrairement aux idées reçues, le but réel de la torture mise en œuvre par le bourreau n'est assurément par de faire parler, contrairement à ce qu'il peut prétendre, lui aussi. En fait, la torture c'est pour faire taire. Elle fait taire bourreaux et victimes en un même silence. L'objectif majeur des systèmes tortionnaires et en son sein, la fonction du bourreau est de produire de la déculturation en désaffiliant la personne de ses groupes d'appartenance. Déculturation, car à travers une personne singulière que l'on torture, c'est en fait son groupe d'appartenance que l'on veut atteindre: appartenance professionnelle, religieuse, ethnique, politique, sexuelle, …On attaque la part collective de l'individu, celle qui le rattache à un groupe désigné comme cible par l'agresseur, en désintriquant l'articulation entre le singulier et le collectif. Quand le processus à atteint son objectif, l'individu que l'on a torturé devient toujours un sujet isolé un sujet qui se met à part au sein des groupes d'appartenance. A travers les techniques de déculturation employées sur quelques personnes, qui sont ensuite intentionnellement relâchées, on fabrique des peurs collectives ainsi que la terreur sur une population toute entière.
Les illustrations abondent, hélas ! Intimidations réitérées par attouchements sur jeunes filles Kurdes de Turquie lors de multiples convocations au commissariat, impact médusant du bagne de Tazmamart au Maroc,… Voilà comment on fabrique la terreur collective.
A la lumière de ces faits, l'argument selon lequel la torture sert à faire parler est rendu totalement obsolète..."
Les stratégies de déculturation dans les conflits contemporains by F. Sironi
"Les enfants soldats et la fabrication de "l'homme nouveau" par les Khmers rouges au Cambodge.
Dans "Les Khmers rouges et les autres", J.P. Hiegel et C. Landrac décrivent les effets de l'idéologie appliquée sur un jeune patient qu'ils ont suivi dans un camp de réfugiés en Thaïlande. "Il avait peur de faire des fautes s'il parlait trop, mais dans le contexte où il avait vécu, c'était là une mesure de prudence nécessaire à sa survie. Nous lui avons malgré tout prescrit un ou plutôt plusieurs traitements antidépresseurs sans qu'aucun n'ait jamais le moindre résultat. Ceci nous confirme dans l'idée qu'en réalité la validité même du diagnostic d'état dépressif est à mettre en doute. Son évolution a été liée au progrès de la "rééducation" spontanée que lui a permis son séjour dans le centre de médecine traditionnelle du camp neutre de Khao I Dang. Il lui aura fallu malgré tout deux ans et, de surcroît, la perspective de retrouver un membre survivant de sa famille pour qu'il retrouve la liberté de sentiments et la spontanéité d'un homme ordinaire. Tel qu'il se présentait auparavant, il n'était ni psychotique, ni déprimé, mais peut-être bien un homme nouveau qui ne ressentait rien, n'exprimait rien, ne voulait rien, sinon retourner d'où il venait, vivre dans des conditions qui lui paraissaient à lui normales, et continuer à faire ce qui lui était demandé, sans penser" [11]. Un véritable travail de recherche devrait être entrepris, à l'échelle d'une population entière, sur les conséquences actuelles du processus de fabrication de l'homme nouveau parmi des adultes alors enfants à une époque troublée...
L'objet culturel ainsi ciblé est la mémoire collective. Par un "reformatage" de la mémoire individuelle on agit sur la mémoire collective. Les techniques employées sont la mise en acte de la rupture de transmission : en effet, on obligeait les enfants soit à dénoncer, soit à tuer leurs propres parents. Ces techniques sont encore d'actualité en Angola, au Mozambique, au Sierra Leone. Le recrutement d'enfants soldats, généralement par des groupes armés d'opposition, procède de la même logique. C'est le cas, entre autre, en Algérie (groupes islamistes), au Kosovo, au Soudan ; en République Démocratique du Congo Brazaville, au Pakistan, au Sri-Lanka (par le LTTE), en Inde (chez les Naxalites, groupes armés d'extrème-gauche), en Colombie (on appelle ces enfants les "petites clochettes", pléonasme révélateur pour désigner le fait qu'ils sont déployés devant un dispositif militaire d'où ils peuvent avertir dès que l'ennemi attaque)..."
Les vétérans des guerres perdues -contraintes et métamorphoses by F. Sironi
"L'Indochine, l'Algérie et le Vietnam hier, l'ex-Yougoslavie, le Rwanda et la Tchéchénie aujourd'hui viennent nous rappeler, au quotidien, que la guerre est un sujet éminemment contemporain. La société civile croyait fortement à l'idée qu'après le dernier conflit mondial, après Auschwitz et Hiroshima, la guerre serait à jamais bannie. Il n'en fut rien. Les troubles psychopathologiques que présentent les anciens combattants m'ont contrainte, en tant que psychologue et psychothérapeute, à penser la guerre. Les patients que j'ai été amenée à voir m'ont obligée à penser un type de guerre bien précis: les guerres "perdues".
Trois éléments ont une importance fondamentale quant à la compréhension et au traitement psychologique des désordres liés aux expériences de guerre perdues:
1. Lorsque le passage d'un état à un autre, à savoir le passage du monde civil à la vie guerrière d'une part et le passage du retour du monde de la guerre à celui de la société civile d'autre part, n'est pas délibérément pensé et organisé, il peut en résulter une psychopathologie spécifique, capable de rejaillir sur la société civile toute entière.
2. Les troubles psychologiques qui apparaissent au retour des guerres perdues ont toujours été considérés comme étant des conséquences de guerres. Or cette proposition n'est vraie qu'en partie. Il existe un type d'événement que les cliniciens n'ont pas mis en avant dans la psychopathologie des vétérans de guerres perdues: l'impact du passage non pensé et non organisé de la vie combattante à la vie civile.
3. Enfin, le concept de "guerre perdue" mérite d'être détaché et considéré per sè par les cliniciens, d'une part parce qu'il entraîne un vécu et une souffrance psychologique spécifique parmi les anciens combattants, d'autre part parce que ce type d'expérience a un impact réel sur la vie collective au travers de la marginalisation et de la radicalisation d'un grand nombre d'entre eux qui s'engagent dans des combats politiques sous-marins, extrémistes.
Pour illustrer toute l'importance du passage, chez les combattants, d'un état de guerre à la vie civile, je m'appuierai sur une réalisation insolite à laquelle j'ai contribué en tant que psychologue, psychothérapeute et chercheur en ethnopsychiatrie: la création d'un centre de réhabilitation pour les vétérans russes revenus traumatisés de la guerre d'Afghanistan. Ce centre a été crée dans la ville et l'Oblast (région) de Perm, située dans l'Oural, à 1200 kilomètres au nord-est de Moscou..."
Les enfants victimes de torture et leurs bourreaux by F. Sironi
"De quelle manière l'histoire collective s'articule-t-elle avec l'histoire singulière des enfants et des adolescents? Par histoire collective j’entends les guerres, les persécutions politiques et économiques, les mouvements sociaux, les révolutions culturelles, les bouleversements technologiques, ceux de la science ou ceux des habitudes morales et culturelles[6].
Les enfants et les adolescents sont torturés (brûlures de cigarettes,…) pour faire pression sur leurs parents, par intimidation, lorsqu'ils refusent d'être enrôlés de force dans des mouvements armés, pour les forcer à révéler des informations sur les rebelles, ou pour qu'ils renoncent à se révolter. Les enfants et adolescents peuvent être brutalisés, projetés contre les murs, frappés, au décours de l'arrestation de leurs parents. Ils peuvent être témoins de tortures et de mauvais traitements sur leurs parents, ou être les témoins de l'arrestation, souvent brutale, de ces derniers. Les enfants et adolescents ayant connus des violences collectives sont souvent témoins de la destruction de leur maison, de fouilles, de perquisitions, de harcèlement policier. Leur chambre d'enfant, leur aire de jeux favorite sont détruits, leurs jouets volés, cassés, souillés, piétinés. Ils peuvent avoir vécu, en direct ou l'apprendre beaucoup plus tard, l'assassinat d'un ou des deux parents. Les violences intra-familiales sont fréquentes : disputes, coups, alcoolisme,… Elles sont la résultante de l'action délibérée des tortionnaires au sein des systèmes de terreur organisée. La disparition d'un parent (père, mère, frère,…) est également un événement difficile à métaboliser pour un enfant, pour tout le monde d'ailleurs: ne sachant pas si le disparu est mort ou vivant, cela laisse une "béance" dans la vie de l'entourage du disparu. Le deuil est à jamais impossible à faire. La vie sociale de ces enfants est aussi objet de persécution: dans le pays d'origine, ils peuvent avoir été exclu de l'école pour motifs d'appartenance politique, ethnique, religieuse, ou raciale "indésirable". A l'école, ils sont l'objet de harcèlement, de moqueries, de discriminations qu'ils ne comprennent pas toujours et dont ils n'osent demander la raison à leurs parents. Ne pas oser demander quand on ne comprend pas: cette représentation d'une partie de la réalité va se graver dans leur vécu et va avoir des répercussions importantes sur leur capacité d'acquisition scolaire. Les violences économiques liées aux persécutions politiques touchent également ces enfants et ces adolescents: vols lors des perquisitions, chômage des parents,…
Les violences idéologiques sont également très marquantes pour ces enfants: livres brûlés, écoles dévastées, bibliothèques, universités, lieux de savoirs sous contrôle policier. Il arrive fréquemment que les enfants soient utilisés comme indicateurs et soumis à de multiples chantages. On les contraint à révéler les secrets, les caches (armes, documents,…) et à dénoncer leurs parents ou leurs proches. La peur est permanente. "Lorsque tu as peur, ta peur s'infiltre parmi les générations, et des milliers d'âmes devant et derrière toi en sont humiliées" écrit Nikos Kazantzakis dans Ascèse[7]. Enfin, il y a aussi les enfants utilisés dans des guerres, comme les enfants soldats soumis à des processus idéologiques de fabrication de l'homme nouveau, comme c'était le cas avec les Khmers rouges au Cambodge entre 1975 et 1979. Les enfants cambodgiens qui ont vécu ce processus de déculturation sont maintenant devenus adultes. Beaucoup ont des problèmes: violences conjugales, alcoolisme, drogue, addiction au jeu, isolement, violences sur leurs propres enfants ou désintérêt profond pour les affaires du monde.
Cette part vécue d'histoire collective traumatique fait taire. Elle fait taire les enfants qui l'ont vécue et qui n'en parlent pas, ni à l'école, ni à la maison. Elle fait taire aussi les adultes. La gène, la honte, l'humiliation d'avoir été vu impuissants, torturés devant ses propres enfants ou devant d'autres, laisse une trace indélébile dans l'interaction des adultes avec leurs enfants. C'est là que vient se loger l'intentionnalité du système tortionnaire: venir attaquer, briser, dénaturer, compliquer les liens qui unissent des êtres de même sang. A l'école, la crainte du dévoilement peut conduire ces enfants et adolescents à un conformisme de surface. Plus gênant, la crainte du dévoilement de leur histoire traumatique peut conduire ces enfants à une propension accentuée au mensonge protecteur pour se rendre "lisses" aux yeux d'autrui. Il arrive fréquemment que les enseignants deviennent, à leur insu, les "bêtes noires" de ces enfants quand, en toute bonne foi, ils demandent de raconter des histoires de famille ou des histoires en lien avec le passé et le pays d'origine..."
Maltraitance théorique et enjeux contemporains de la psychologie clinique by F. Sironi
"Dans cet article, l'auteur introduit un nouveau concept, celui de maltraitance théorique. Il sert à caractériser d'une part l'inadéquation des théories avec lesquelles les problématiques cliniques contemporaines sont pensées, d'autre part l'inadéquation des pratiques avec lesquelles nous prétendons traiter les patients par la psychothérapie. Une illustration de la maltraitance théorique sera donnée au travers de l'analyse du concept d'universalité. La maltraitance théorique a des lieux d'émergence précis, notamment les lieux d'interfaces entre les mondes culturels..."
Le diagnostic précoce de la schizophrénie by Robert Barrett
"La schizophrénie n'est pas une fiction ou une fabrication mais une réalité ayant des bases historiques...La schizophrénie est apparue comme une nouvelle catégorie de maladie mentale au 19ième siècle. L'installation des asiles, et en particulier la micro-organisation de ce nouveau type d'institution, ont créé les conditions pour la naissance de ce concept. Deux des thèmes centraux énoncés à partir de ces asiles, c'est-à-dire la dégénérescence et la dissociation de la personnalité, ont permis de lui donner forme. Ces deux thèmes représentent le côté sombre de la personnalité idéalisée, la dégénérescence étant l'antithèse de la progression et la dissociation étant l'antithèse de la intégration. Cela étant dit, la schizophrénie est plus qu'une maladie biologique ou du comportement. Elle se définit culturellement comme une faille fondamentale dans les attributs cruciaux de la personnalité...
Mes recherches historiques ont suggéré que la schizophrénie était une catégorie diagnostique "liée à la culture" - non pas un syndrome lié à la culture, mais une façon de penser la psychose liée à la culture..."
















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